Debout dand le métro Je rêve et je suis triste Et suis d'un œil dolent L'octohydrographisteSous la voute elliptique Les deux quais face à face Échangent à voix basse De mornes confidences Le temps ne dure pas Puisque le train m'emmène Et que reste là Dans le même wagon. Je suis à Mabillon République ou Auteuil Je suis là ou ailleurs Je suis à Odéon Debout dand le métro Je rêve et je suis triste Et suis d'un œil dolent L'octohydrographiste Les paillettes luisantes Du carborendum S'éteignent sous les pas De l'humide fantôme. |