Départ dès que le soleil commence à illuminer les Fétoules.
Au début de la montée, une série de petits moulins à eau, fabriqués par un retraité du coin, et photographiés bien sûr par tous les touristes.
Admirez l'astuce du montage !
Plus classique, à huit pales.
Celui-ci est plus sophistiqué, ...
... avec un arbre à cames et trois petits marteaux. Dommage que la plaque de métal ne soit pas un xylophone !
Champébran, souvenirs, souvenirs, il est loin le temps du CIHM ...
... et les chalets sont bien rénovés et modernisés.
Tiens, encore un moulin, assez rustique, celui-là, tournant cahin-caha sur ses guides d'axe triangulaires.
Par contre, là, le décor est soigné , ...
... et à y regarder de près ...
... le moulin lui-même est plus efficace. Ici, l'axe est fixe, et le volant d'inertie assure un mouvement assez régulier.
Mais n'y aurait-il pas moyen d'améliorer ? Les deux ingénieurs retraités en discutent ?
Et si on inclinait les pales différemment, ou en les courbant, comme dans une turbine Pelton ?
Heureusement, la flore incite à d'autres interrogations. Quelle est cette fleur ?
Comment, vous n'avez pas reconnu la grande astrance (Astrantia major) ? Vaguement machiste : sur un pied, pas de fleurs femelles seules, soit des mâles, soit…
À mi-parcours, un campement rustique. Au fond, une ébauche de cabane (?).
Bientôt le col ...
... avec son cairn, ...
... et son panorama sur la Bérarde,
Vue imprenable sur l'Ours pataud.
