Rue Saint-Antoine pratiquement sans circulation, le temple du Marais, puis la rue de Rivoli.
La rue Cloche Perce (c. 1200). Le nom vient d'une enseigne, une cloche de couleur perse, c'est-à-dire bleu persan, qui y était située.
... et les maisons des 11 et 13 rue François Miron, à l'enseigne du Mouton et du Faucheur (XIVème). Au 13, dans les trois niveaux de caves, est installé un club…
L'hôtel de ville, en face arrière, guère moins somptueuse que la principale ...
... qui, d'ailleurs, est déjà à renettoyer.
Et, bien sûr, la tour Saint-Jacques, vestige de l'église Saint-Jacques-la-Boucherie (c. 1520).
L'Hôtel-Dieu, côté Seine, vu depuis le pont Notre-Dame.
Et, de l'autre côté, admirez la pub sur le tribunal du commerce, le Pont au Change, la Conciergerie. À l'origine, le Concierge est un haut personnage nommé par…
Puis nous continuons rue de la Cité, pour atteindre ...
... Notre-Dame. De ce côté, les dégâts de l'incendie ne sont guère visibles, juste illustrés par des écoliers.
Mais en faisant le tour, on voit bien les consolidations des arcboutants et les échafaudages.
Les travaux vont durer plusieurs années. Logements des ouvriers à base de conteneurs empilés.
La face arrière, avec un toit provisoire bâché.
Ici les Barbes-bleues n'assassinent a priori personne, et les vrais blaireaus en vitrine sont surtout pour la décoration.
Ah, la police montée !
Et une technique astucieuse pour promener les gamins : leur faire tenir une longue sangle avec des poignées.